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FAQ’s

Foire aux questions

Quel est l'histoire de la MAI ?

L’école, fondée en 1981 fait figure de pionnière puisqu’elle est alors la première en France entièrement dédiée aux musiques actuelles. D’abord nommée Centre Musical Créatif de Nancy (C.M.C.N.), elle prend le nom de Music Academy International en 1996.

Dès ses débuts et au fur et à mesure des années, l’école se distingue par sa singularité. En effet elle centralise un portefeuille de professeurs et d’intervenants prestigieux qui sont en fait des artistes, professionnels en activité. De plus, son panel de cours et de matières enseignées permet à ses élèves une progression professionnelle et artistique qui, très tôt, attire l’attention sur elle. Toutes ces particularités lui font intégrer en 2007 le prestigieux réseau d’écoles internationales de Berklee (Boston, US).

Ce succès lui permettra d’atteindre en 2018 le seuil de 9000 musiciens en activité formés, dans le monde. 2020 marque une nouvelle reconnaissance internationale de l’école par la signature d’un partenariat académique avec le Musicians Institut de Los Angeles. 2021:

MAI révolutionne le panorama Français de l’enseignement musical en lançant le premier Bachelor entièrement dédié aux musiques actuelles : Musician Expert in Modern Music. Music Academy International change également de dimension en rejoignant le groupe SCHOOL OF ARTS !

 
Où se trouve l'école ?

La MAI se trouve à Nancy, au 12 Avenue du 20ème Corps / NANCY

Comment candidater à la formation ? Quel niveau attendu ?

Le talent n’est pas une accumulation de savoir ou de savoir-faire et surtout pas de connaissances théoriques. Thelonous Monk, Kurt Cobain, James Brown, …. auraient été refusé par n’importe quelle centre de formation professionnelle ou conservatoire et pourtant ils ont créé un style.

Il est donc important pour nous de savoir, si vous avez une maîtrise relative de votre instrument (même si c’est une approche très personnelle), si vous avez une aisance rythmique, si vous possèdez une motivation inébranlable, si vous avez déjà un niveau théorique (ce n’est pas obligatoire, mais souhaité), si vous avez une personnalité artistique, si vous avez un comportement humain qui permet d’évoluer dans un environnement scolaire, si votre finalité artistique cadre avec notre finalité pédagogique.

C’est pour cela que nous avons besoin de vous entendre et de vous voir pendant environ 10 minutes. La qualité technique de l’enregistrement n’est pas importante.

Environ 15 à 16% des candidats sont refusés à l’audition.

Important : Si l’audition révèle un niveau technique trop faible, nous vous conseillons une certaine stratégie de travail de rattrapage, qui vous permet de repasser quelques mois plus tard une nouvelle audition

Quels sont les débouchés ?

Quand on envisage de s’orienter vers l’activité d’artiste-musicien ou de technicien de spectacle, on pense surtout à la scène et à l’enseignement. Toutefois le champ du spectacle vivant a été largement redéfini lors des dernières décennies.
Tout d’abord, à ses marges se sont développées des activités qui intègrent la production et la diffusion dans le cadre d’activités plus larges. C’est le cas des parcs de loisirs et d’attraction par exemple, qui sont devenus les premiers secteurs employeur du spectacle vivant.

C’est également le cas de l’animation socioculturelle qui produit ou diffuse des spectacles dans le cadre d’une mission sociale ou encore les domaines de la création de musiques sur commande (film, théâtre, pub, consoles de jeu, vidéo d’entreprise…)
Les disciplines sont nombreuses, les lieux d’activité sont variés et se croisent, les synonymes sont légion, mais révèlent des différences importantes.

Bref, le monde du spectacle est en soi un véritable labyrinthe, un domaine de passion et une gigantesque machine financière. Les témoignages des professionnels concordent : la vocation est un élément essentiel. Le terme est mythique, même un peu galvaudé. Pourtant la reconnaissance ne passe que par elle. La motivation, le courage, la persévérance permettent de progresser. Mais seule la vocation permet de toujours y croire. Etre convaincu qu’on ne peut rien faire d’autre. Voilà ce qui fait la force de ces artistes et de ces techniciens. Le monde du spectacle est un monde de passion.

Le métier de l’artiste musicien ne se limite que très rarement à une seule occupation, mais se distingue par une multitude de « petits métiers » appartenant aux 5 différentes débouchés :

« Scène, Enseignement, Animation, Production, Création »

Nous avons constaté, que le musicien professionnel ou technicien de spectacle doit toucher en même temps au moins à 3 des 5 débouchés pour survivre, vivre ou bien vivre (selon des cas) de son art.

Le fait de toucher aux différentes débouchés en même temps, augmente considérablement les chances de s’en sortir financièrement et d’enrichir sa vie sociale, mais exige bien plus de compétences.
Il est clair que le niveau d’exigence technique se renforce en même temps. Pouvoir maîtriser plusieurs techniques et multiplier les opportunités de travail dans des secteurs différents est une condition du maintien d’un artiste sur le marché, sur l’ensemble de sa carrière. Ceci plaide pour le renforcement de formations initiales solides qui intègrent ce facteur.

Financements
  • Demandeur d’emploi de + de 26ans : Pôle emploi
  • Demandeur d’emploi de – de 26ans : Mission locale Le pôle emploi monte les dossiers, il faut avoir un projet solide, une réelle motivation, une promesse d’embauche est un plus.
  • Salariés : Projet de transition professionnel (Anciennement : CIF) Conditions : Le salarié doit justifier d’au moins 2 ans consécutifs ou non, dont 1 an dans la même entreprise, quelle que soit la nature des contrats consécutifs.

(Congé de formation professionnel dans la fonction publique hospitalière (fonctionnaires et contractuels ayant 3 ans de service dans la fonction hospitalière, s’adresser à l’ANFH)

  • Intérimaire : L’intérimaire doit avoir travaillé 1600 heures dans sa profession au cours des 18 derniers mois, 600 heures doivent être effectuées dans l’entreprise de travail temporaire ou s’effectue la demande.
  • Intermittents : Pour être éligible à un financement de la formation par l’AFDAS, les intermittents doivent disposer d’une ancienneté de 2 à 3 ans minimum et d’un volume d’activité défini (contacter votre AFDAS)
  • Personne en situation de handicap demandeurs d’emplois : s’adresser à une mission locale ou CAP emploi. Une aide peut également être débloquée par l’AGEPIPH après étude de votre dossier. Selon les actions l’AGEFIPH finance la totalité du coût ou co-finance avec les régions, l’état, les collectivités ou pôle emploi.   

Tout projet de formation individuel doit s’inscrire dans un parcours d’insertion et faire l’objet d’une validation préalable par l’organisme qui vous accompagne.